De la "Non-Provocation"
Arestovich balance tout !

( L'affaire Arestovich - 2 )

épisode précédent

 

Après avoir jeté sa gourme, la semaine dernière, le principal « spin doctor » de Zelinski s’est finalement résolu à « lacher le morceau » et tout révéler, urbi et orbi, sur l’odieuse agression russe, telle que l’ont vue et éprouvé ses victimes, les courageux défenseurs ukrainiens de l’occident civilisé.

Ce « coming out » n’est évidemment pas passé inaperçu et d’autant moins qu’il permet de bien comprendre de quoi la « non provocation » des « ultra-nationalistes » favoris de nos médias occidentaux (et de la propagande de la CIA) est le nom …

Ceci expliquant cela, on comprend par la même occasion pourquoi, dans les mêmes médias comme dans toute la classe dirigeante occidentale, de quelque bord qu’elle soit, on fait toujours précéder « l’odieuse agression russe » du prédicat « non provoquée ». Car, s’il s’agissait d’une « simple agression » , du genre de celles que les USA ont perpétré, ad nauseam, depuis le début de la guerre froide – ne serait-ce que ces dernières années en Yougoslavie, Afghanistan, Panama, Grenade, Irak, Syrie, Lybie, Yemen, etc. - il leur serait délicat de dénoncer les russes pour des faits qui jusqu’ici passaient pour parfaitement légitimes, dès lors que les zoccidentaux, au nom de la "communauté internationale" les approuvaient servilement ou même en étaient complices.

Donc si Poutine est dénoncé comme un odieux dictateur totalitaire au titre de son « agression » contre les populations ( russophones) du Donbass, c’est parce que, à l’inverse de Kennedy, Johnson, Bush, Reagan, Obama, Biden, ou Netanyaou ( etc.) il a certes agressé ces pauvres archeo-nazi ukrainiens mais il l’aurait fait de manière … « non provoquée ».

Dans ce récent « show » de « Redacted » Clayton et Natali Morris, et leurs amis, en tirent les leçons.

Tag(s) : #Ukraine, #Boris Johnson, #Arestovich, #au monde réellement renversé, #Russie, #Redacted
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