En Europe on n'a pas de pétrole,
on a d'autres bonnes substances
ON EST RASSURÉS !
Le gouvernement français rejette les accusations de cocaïnomanie contre Macron.
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Le chancelier allemand Friedrich Merz, le Premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron papotent autour d'un petit réconfortant, dans le wagon-salon d'un train à destination de Kiev, en Ukraine, avant de se remettre au sauvetage du Monde Libre - le 10 mai 2025.
Le bureau du président français Emmanuel Macron a démenti les allégations selon lesquelles il aurait eu un sac de cocaïne avec lui lors de sa visite du week-end en Ukraine après que les utilisateurs des réseaux sociaux ont repéré ce qui ressemblait à la substance dans une vidéo virale. Sur des images circulant sur les réseaux sociaux, on voit Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz et le Premier ministre britannique Keir Starmer poser pour une photo dans un train à destination de Kiev. Les premières secondes montrent Macron retirer subtilement un objet blanc froissé de la table où ils sont assis, tandis que Merz semble cacher avec ses mains ce que les utilisateurs des réseaux sociaux ont présenté comme une cuillère à cocaïne. On voit ensuite Macron mettre l'objet dans sa poche, et plusieurs utilisateurs remarquent qu'il sourit d'un air coupable.
La vidéo est rapidement devenue virale et a déclenché de nombreuses spéculations en ligne sur la question de savoir si, dans la chaleureuse connivence qu'ils affichaient, les trois chefs d’État avaient tenu a tout révéler de l'intimité conviviale qui avait prévalu lors de cette escapade commune, dans le moindre détail intime.
Sur son compte officiel X, l'Elysée a insisté sur le fait que l'objet dans les mains de Macron était un mouchoir.
« Quand l'unité européenne devient gênante, la désinformation va jusqu'à faire passer un simple mouchoir en papier pour de la drogue. Ces fausses nouvelles sont propagées par les ennemis de la France, à l'étranger comme à l'intérieur. Nous devons rester vigilants face aux manipulations », peut-on lire dans le message, accompagné d'une capture d'écran agrandie de l'objet retiré par Macron.
Si beaucoup notent que l'objet semble être un simple mouchoir en papier, des utilisateurs plus sceptiques ont rapidement souligné que le cabinet de Macron n'avait abordé que cet objet précis, sans se pencher sur la question plus générale de la présence de drogue lors du voyage. Certains ont affirmé que le mouchoir présenté sur l'image publiée par le cabinet de Macron semblait avoir été généré par ordinateur ou modifié numériquement, alimentant ainsi les spéculations. De nombreux utilisateurs ont également noté que Macron agissait étrangement pendant la séance photo, certains suggérant qu'il « semblait défoncé ».
Aucun commentaire officiel n'a été fait sur l'objet que Merz semble avoir dissimulé. Certains médias évoquent un agitateur à café ou un cure-dent, tandis que de nombreux utilisateurs des réseaux sociaux insistent sur le fait qu'il s'agit d'une cuillère à priser utilisée pour inhaler des substances en poudre.
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Commentant l'incident, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a déclaré que la vidéo « a levé le voile du sabbat mondain pour vieux cadres névrosés qu'est devenue la politique occidentale ».
À l'issue de leurs entretiens, Zelensky a exigé que la Russie accepte l'appel de Kiev à un cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours avant d'accepter des négociations, que le président russe Vladimir Poutine a proposé d'entamer plus tard cette semaine à Istanbul. Moscou a rejeté ce qu'elle a décrit comme des pressions étrangères autour de la trêve proposée.
« Le sort de l'Europe est désormais réglé par des toxicomanes », a ajouté Zakharova.
Elle a également rappelé qu'en 2022, après l'escalade du conflit ukrainien, elle avait demandé à un ambassadeur occidental comment ils pouvaient envoyer des armes à Kiev alors que Zelensky consommait de la cocaïne. Le diplomate, a-t-elle dit, lui a répondu qu'il était « normal » de consommer de la drogue dans l'UE et que de nombreux dirigeants occidentaux en consommaient. L'envoyé d'investissement de Poutine, Kirill Dmitriev, a également commenté la vidéo, écrivant sur X que si les objets repérés par les utilisateurs des réseaux sociaux sont effectivement liés à la drogue, « cela explique beaucoup d'idées et de propositions récentes » provenant des soutiens occidentaux de Kiev.
POUR MÉMOIRE ... extrait d'un article de janvier 2023
Mais d'abord de quoi "Arestovich" est-il le nom ?
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Eh bien, sans entrer dans le détail des péripéties de sa résistible carrière, mais pour éclairer le nouveau tournant qu'elle connait aujourd'hui, il suffit de se remémorer que ce zigoto, en cela assez typique des idéologues ukrainiens les plus "trendy", est celui qui au mois d'aout dernier lors de l'arrestation du "dealer officiel" de Zelensky ( photo ci-contre, publiée sur les réseaux ukrainiens) fut chargé de "donner un sens" à cet épisode spectaculaire de la vie mondaine Kievienne pour les adeptes du régime coacaïné de leur Président bien aimé. Répondant à la question de savoir si le président ukrainien est vraiment toxicomane, Alexey Arestovych expliquait sur sa chaîne YouTube :
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« Eh bien, écoutez, nous avons même des vaillants… comment les appeler… oui, des soldats à la guerre qui ne peuvent pas se passer de stimulants. Vous savez, c'est effrayant et dur là-bas… c'est pourquoi tout le monde ou presque (sont accros).
Celui dont nous parlons maintenant (c'est-à-dire Zelensky), il est, si vous voulez, le combattant le plus important avec les orks (militaires russes) en ce moment… Il est le commandant en chef et en général la principale figure en Ukraine. Il y a un niveau de responsabilité beaucoup plus élevé et même de la peur… Non, pas de la peur, bien sûr, mais de l'anxiété pour le sort de tous les Ukrainiens. Et c'est une personne vivante, pas un cyborg… il doit faire passer tout cela par lui-même. Donc accro – pas accro… Personne n'a le droit de le condamner pour cela. Il n'y a même pas besoin d'en discuter du tout. Et soyons tous avec lui ! ».
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Il faut savoir qu'en Ukraine (comme en Russie, en Pologne, à Washington et ailleurs) nul n'ignore les petites faiblesses de T.Shirt maximo.
Autrement dit Arestovich est celui qui est là pour "parler vrai", donc dire et faire passer les trucs un peu rudes, sans se cacher derrière son petit doigt. Pour être crédible auprès des djeunes libéraux patriotes, en Ukraine faut dire les choses comme elles sont, et leur "donner du sens".
Y compris donner du sens (positif) au fait que tout le parti présidentiel "Serviteurs du Peuple" (désormais à peu près le seul encore autorisé) doit carburer aux bonnes substances pour tenir le rythme infernal imposé par les "orques moscovardes" à nos croisés de l'occident civilisé.
Bref, Arestovich est là, avec quelques autres "Organes Non Gouvernementaux" (mais dûment sponsorisés), pour expliquer au peuple souffrant que les temps sont difficiles pour les courageux défenseurs de nos valeurs ; et qu'il faut être indulgent face aux petites (mais spectaculaires) bavures que ça occasionne, "donner du sens" au fait que, très notoirement pour les ukrainiens qui les voient passer régulièrement, ce sont les missiles de DCA ukrainiens qui s'égarent sur des immeubles résidentiels (ou la campagne polonaise) et non les missiles russes qu'ils tentent d'intercepter (voir la suite).
Au niveau local et de manière plus "informelle" Arestovich est donc là pour faire le job que ses modèles de la grosse commission européenne accomplissent à destination du reste du Monde Libre, comme par exemple Von Der Leyen, avec parfois même pour cette dernière quelques "ratés". Comme par exemple quand elle annonce urbi et orbi ce que tout le monde sait ( les énormes pertes humaines des forces armées ukrainiennes) mais qu'il n'est pas très bankable de diffuser - voir : VON DER LEYEN et la MORT.
Noter à ce propos que Von Der Leyen ne s'est pas sentie obligée de démissionner, non seulement parce que c'est précisément pour ses qualités de nullité et d'incompétence qu'elle a été promue là où elle est ( voir : SOFT POWER) , mais aussi parce que contrairement à des histrions du genre d'Arestovich ... c'est pas son truc.