HISTOIRE, ARCHEOLOGIE et
DÉCOUVREZ LA REVUE ET SES CONTRIBUTEURS SCIENTIFIQUES IKOSIM est une revue spécialisée dans le patrimoine et la recherche archéologique en Afrique du Nord. Née à Alger dans un cadre associatif, elle se veut une tribune pour tous les interlocuteurs du patrimoine, archéologues, architectes, restaurateurs, muséologue, préhistoriens, paléontologue, associations. La revue s’intéresse dans son dixième et dernier numéro aux récentes découvertes archéologiques en Algérie tout en proposant des études et analyses relatives à plusieurs sites, phénomènes et patrimoines historiques. La publication de cette revue s’est perpétuée, dix ans durant, au grand bonheur des passionnés d’histoire et d’archéologie, grâce au comité scientifique d’Ikosim et des nombreux docteurs en archéologie qui y contribuent avec des travaux scientifiques de premier plan. Dans le dernier numéro Ikosim s’intéresse notamment à l’épigraphie latine et libyenne au travers de découvertes récentes, de plaques, stèles et vestiges portant des gravures de personnages étranges, d’esquisse de cheval et d’écriture libyque analysée par le chercheur. On y trouve des articles sur le « peuplement de la Numidie de la haute Antiquité à la veille de la conquête vandale» s’appuyant sur des repères historiques, mentionnés de manière chronologique avec des illustrations ; une étude sur l’artisanat du métal en Algérie antique appuyée sur de nouvelles découvertes ; une autre sur les derniers instants de vie des animaux de l’amphithéâtre en Afrique romaine, spectacle très apprécié dans l’antiquité dans toutes les arènes de la Méditerranée. Dans une jonction entre l’antique et la technologie moderne, un article porte sur les «Transmissions romaines : la tour antique de Daouark» autrement dit les transmissions en milieu militaire, ancêtre des télécommunications en revenant à l’époque gréco-romaine. Les vestiges de cette tour ont été retrouvés au XIXe siècle près d’Azeffoun dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Sur les périodes plus contemporaines une étude est consacrée à l’infrastructure portuaire d’Alger en 1516-1518. Il réexplique la morphologie du relief algérois en s’appuyant sur les résultats de fouilles archéologiques et travaux scientifiques.
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