De quoi la zemmourite est-elle le nom ?

Annie Lacroix-Riz nous informe qu'il en sera question,
ce lundi 15 novembre, sur "QG"

Certainement un entretien très instructif, qui donnera quelques notions historiques indispensables,
qui font cruellement défaut à tous nos "influenceur.euse.s" réseautiques ;
et qui permettra de mieux informer le jugement de leurs "followers", notamment pour mesurer à quel point les meilleurs propagateurs, à titre de repoussoir idéal (et très efficace) en soutien de la démagogie petite-bourgeoise la plus réactionnaire (de droite) déversée par Zemmour, ce sont les cornichon.ne.s non moins réactionnaires (mais de gogoche)  du fsu sorbonne , tous ces idiots utiles du lumpen bobotariat "éduqué" qui ne trouvent pas mieux pour meubler leur délectation morose...
que ce genre d' "action décisive" :

• Mettre en place des toilettes mixtes afin de faciliter l'accès aux sanitaires à toutes les personnes, quelque soit leur identité et leur expression de genre.
• Faciliter l'inscription au prénom d'usage : généralisation de la procédure au niveau universitaire comme cela est promis depuis plus de 2 ans. Offrir la possibilité de dissocier les prénoms figurant sur les listes d'appel et sur les courriers : trop d'étudiant.e.s ou chercheur.euse.s trans doivent soit s'outer auprès des professeurs et des classes en début de semestre, soit auprès de leur famille si iels vivent encore au foyer familial. Dans les deux cas, cela les expose potentiellement des violences d'un côté comme de l'autre. Les enseignant.e.s trans doivent également avoir cette possibilité.
• Faciliter l'utilisation des pronoms d'usage : les enseignant.e.s peuvent par exemple faire remplir aux élèves une fiche pour préciser leurs pronoms.
• Lutter contre la précarité étudiante dont les étudiant.e.s queer souffrent davantage¹.
• Former les enseignant-e-s et personnels aux thématiques LGBTQIA+, notamment pour éviter les discriminations commises par ignorance.
• Faire des campagnes d'affichage pour visibiliser les personnes LGBTQIA+.
• Sanctionner sévèrement les enseignants, les personnels, les étudiant.e.s se rendant coupables de comportement transphobes, allant du mégenrage régulier et/ou volontaire (fait de ne pas utiliser les bons pronoms et prénom) à l'agression ou aux discriminations en cours. Prévoir des mesures de protection pour les victimes : médiations, changements de TD, etc. 
• Lutter pour que les diplômes puissent être délivrés au nom d'usage, même sans changement d'Etat civil. La loi ne le permet pas encore mais les universités doivent s'engager pour que le Ministère de l'Enseignement Supérieur s'empare de ces questions. 

Alors les 16 et 17 novembre, votons Étudiant.e.s Solidaires et Écologistes !