Au moment ou l'europe du Volapück est clairement devenue celle de la concurrence des pauvres contre les pauvres ( tandis que les riches se tiennent soigneusement les coudes ), il est devenu également clair que pour la clique de fondés de pouvoir des banques qui gouvernance ce monde merveilleux :
«le manque de foi en la dette publique vient, dès l'incubation de celle-ci, prendre la place du péché contre le Saint-Esprit, jadis le seul impardonnable . »
Il est non moins clair que l'austérité (des pauvres pour préserver les privilèges des riches) , n'est pas le destin des seules danaïdes , et nous devons être plus vigilants que jamais ...
Au fil d'une discussion avec leurs lecteurs, bien informés des dernières péripéties socio-économiques, les Pinçon-Charlot nous mettent en garde : après "le président des riches" le président des mous ?