Jean Noël Barrot, plus fort que Pétain et Louis Renault ?
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Notre Ministre de l'Europe terrorise les barbares orientaux. Il va les forcer à se mettre à table, pour les dissuader de faire déferler leurs chars d'assaut sur Paris.
L'APPEL du 19 JUIN
Après l'appel du 18 juin , celui du ...
19 juin 19h30 au jardin des tropiques
sera lancé pour une petite piqure de rappel à ce cuistre de Barrot ...
par Annie Lacroix-Riz,
Conférence exceptionnelle, présentation, débat et dédicace en avant-première, à l'occasion de la nouvelle édition (poche)
de son mémorable :
Industriels et banquiers français sous l’Occupation
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Industriels et banquiers français sous l’Occupation (premier du lot) est au trou médiatique depuis 1999 (où il donna lieu à une violente attaque de Libération prolongeant celles de 1997 sur un gros article censuré pendant trois ans). Silence radio sur celui de 2013, considérablement augmenté, encore plus accablant, et sans doute sur celui de 2025, à la ressemblance pourtant si forte avec la phase « européenne » en cours.
Il n’empêche, scripta manent. On finira bien par refaire de l’histoire selon les règles déontologiques et par enseigner l’histoire au peuple de France, notamment à ses enfants, avec des vrais profs, du Primaire à l’Université, recrutés et payés « décemment » (vraiment, pas comme ils disent pour les salaires « décents »).
De : annie.lacroix.riz
Date: lun. 9 juin 2025
Subject: Et l’appel du 22 juin 1941, donc…
To: LIB TROPIQUES <tropiqueslib@gmail.com>
Quant à Renault fabriquant des drones pour l’Ukraine, ça nous rappelle 1940-41, et la ruche bourdonnante de la Société anonyme des Usines Renault (SAUR) préparant les chars et autres babioles indispensables à Barbarossa, cf. Industriels et banquiers français sous l’Occupation qui, remanié et mis à jour, sort en Dunod-poche ce 18 juin…
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Sans parler de la suite, exceptionnellement fructueuse, d’autant plus que la fiscalité sur le grand capital était sous Vichy, comme aujourd’hui (où ça s’appelle « optimisation fiscale »), quasi nulle. Le cher neveu Lehideux de Louis Renault, placé par ce dernier (et la banque Worms) à la tête du Comité d’organisation de l’automobile depuis octobre 1940 (le premier fondé de tous), et par ailleurs souvent ministre, assura à son oncle « un taux de profit exceptionnel » de 12%, le premier de toute l’automobile travaillant à 100% (cent pour cent) pour le Reich ; et que Renault, prétendument gâteux et aphasique, surveillait l’avance des usines souterraines de région parisienne à l’été 1944 (mais oui, c’est vrai).
Ah, comme Rheinmetall, un des innombrables champions industriels de l’ère hitlérienne, ce qui reste de l’industrie française, automobile et autre (peu, très peu, il est vrai, mais il n’en va pas tout à fait de même pour l’Allemagne) pourrait renouer, enfin, avec le Nirvana russe. « La Belle époque », vraiment.
En prime, 1° petit rappel de presse. Les héritiers ont protesté contre ces « calomnies », je leur ai fait transmettre 2° ces pièces jointes, pas de nouvelles depuis lors.
Amitiés,
Annie