Pour commencer à comprendre ce qui se passe ...
en réalité.

 

      D'abord une "reprise" remasterisés : la vidéo de la rencontre de 2014 à la librairie, pour la présentation du seul ouvrage, écrit par un collectif d'historiens et universitaires américains, rendant compte de ce qui s'était réellement passé lors de la deuxième "révolution colorée" en Ukraine et qui allait occasionner la guerre de sécession ukrainienne et la suite des événements jusqu'à ce jour.

Comment tout a commencé ...

Et voilà comment on en arrivé là ...


Mais, comme disent les russes, la Pravda finit par l'emporter et les "proxies" de l'Empire du bien commencent à s'inquiéter de la suite des événements. Les producteurs ( la série est coproduite par l'OTAN et  la CIA ) sont mécontents des derniers épisodes et le font savoir, au point que les rangs se fissurent parmi les principaux interprètes de ce remake du Crépuscule des damnés. Les vaillants bataillons nazis déjà bien éparpillés par les barbares orientaux, ont été priés dernièrement de se faire plus discrets, le tour réaliste qu'ils avaient su donner à leurs personnages finissait par nuire à l'image émouvante et réaliste, mais "décalée" de leur série phare :

 Le Serviteur du peuple.

De même les "show runners" de service ont été priés d'améliorer la qualité des scénarios des épisodes quotidiens que leur achètent nos médias "libres". Cette dégradation du "show" et les risques de désaffection du public qu'elle pourrait entrainer a même provoqué des remous dans le staff des producteurs et des règlements de compte publics sur les plateaux :

L'Ukraine licencie un haut responsable
suite à la révélation publique de ses fausses allégations
de crimes de guerre russes.

 

La médiatrice, Lyudmila Denisova,
a été démis de ses fonctions pour avoir diffusé des "faux" sur les forces russes.

Article initialement publié par RT International


L'Ukraine licencie un haut responsable suite à ses allégations de crimes de guerre russes.


Les législateurs ukrainiens ont voté mardi pour retirer la commissaire aux droits de l'homme du pays, Lyudmila Denisova, de son poste. La responsable a été accusée de ne pas avoir rempli ses devoirs et notamment d'avoir diffusé des informations non vérifiées sur des atrocités prétendument commises par les troupes russes en Ukraine. De telles actions n'ont servi qu'à ternir l'image de l'Ukraine, ont fait valoir les députés. Une résolution de défiance a été soutenue par 234 (52%) législateurs sur 450 députés de la Verkhovnaya Rada, a déclaré Yaroslav Zheleznyak, membre de la faction Golos ("Voice") au parlement ukrainien. Denisova avait déjà été critiquée, à la fois par les législateurs et les médias ukrainiens, pour un prétendu manquement à l'exécution de ses fonctions, en particulier au milieu du conflit en cours dans le pays. La médiatrice avait « à peine exercé ses pouvoirs pour organiser des couloirs humanitaires » ou des échanges de prisonniers, a écrit un député ukrainien, Pavel Frolov, dans un post sur Facebook avant le vote de mardi. Le commissaire aux droits de l'homme a à peine fait preuve d'« activisme pour les droits de l'homme » , a-t-il dit, ajoutant que les fonctions de Denisova ont finalement incombé à la vice-première ministre ukrainienne Irina Vereshchuk.

Selon Frolov, la « concentration inexplicable » de la médiatrice sur les crimes sexuels supposés et le  « viol de mineurs dans les territoires occupés, qu'elle n'a pas pu étayer par des preuves » n'a fait que nuire à l'Ukraine. La députée a également accusé Denisova de passer la plupart de son temps à l'étranger pendant le déroulement du conflit. Au lieu de se rendre en Russie spécifiquement pour négocier des échanges de prisonniers, Denisova a passé son temps dans des villes "chaudes et calmes" d'Europe, comme Davos, Vienne ou Varsovie, a déclaré Frolov.

Plus tôt, un groupe de journalistes, de militants des droits de l'homme et de psychologues ont critiqué Denisova pour ce qu'ils ont qualifié de manquement à l'éthique et l'ont accusée d'avoir transformé les reportages sur les crimes sexuels présumés commis par les troupes russes en une publication de type "actualités scandaleuses". Denisova elle-même, qui occupait le poste de médiatrice ukrainienne depuis 2018, a déclaré lundi qu'elle pourrait faire face à un vote de défiance au Parlement, accusant l'administration du président Volodymyr Zelensky d'être à l'origine de cette décision. Elle a également affirmé à l'époque que la procédure de renvoi violerait la constitution ukrainienne. La commissaire aux droits de l'homme a pris ses fonctions sous le prédécesseur de Zelensky, Petro Porochenko, qui a occupé le poste jusqu'en mai 2019.

En mars, la médiatrice russe Tatyana Moskalkova a appelé Denisova à mettre fin à la torture des soldats russes capturés par les forces ukrainiennes. Le responsable russe a cité des rapports sur "des cas de traitements cruels et inhumains de soldats russes en captivité en Ukraine" à l'époque. Selon Moskalkova, Denisova lui a dit qu'il ne pouvait y avoir "aucun accord à ce sujet". Mardi, le chef du Conseil présidentiel russe des droits de l'homme, Valery Fadeev, a appelé Denisova à être jugée. "Vous ne pouvez rien prouver à une personne dont le métier est de mentir", a-t -il déclaré, faisant référence au commissaire ukrainien aux droits de l'homme.

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Dans les zones libérées, depuis quelques jours "l'espoir a changé de camp" bien que "le combat n'ait pas changé d'âme". Et le public populaire local est ravi de retrouver ses bandes d'actualités (à petit budget mais authentiques) favorites :

Tag(s) : #Propagande, #Ukraine, #serviteur du peuple, #medias, #cinema
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