Madame Nicole, nous écrit :
Le lun. 26 oct. 2020 à 18:53, COLAS Nicole a écrit :
Une dernière bien c... de Castex ; "Le meilleur moyen de soulager l'hôpital est de ne pas tomber malade"! je te propose : "le meilleur moyen de ne pas être au chômage, est de travailler"
Viktor Yugov Répond :
C'est un paralogisme absurde et ridicule mais pour cela assez coutumier chez nos "dirigeants bien aimés"
(« Cher dirigeant » (친애하는 지도자, chinaehaneun jidoja ; également traduit par « Dirigeant bien-aimé »)
(« Cher dirigeant » (친애하는 지도자, chinaehaneun jidoja ; également traduit par « Dirigeant bien-aimé »)
Pour ceux qui ont vécu l'époque où on enseignait encore l'Histoire en classe,
il suffit d'évoquer le "Que d'eau, ... que d'eau" de Mac Mahon :
wiki : Dans la nuit du 23 au 24 juin 1875, une importante crue de la Garonne se produit.
Visitant des villes et des villages dévastés, ne sachant que dire, il déclara le célèbre
« que d'eau… que d'eau !… »9
Le préfet du département lui répondit alors :
« Et encore, Monsieur le Président, vous n'en voyez que le dessus… ! »10
Visitant des villes et des villages dévastés, ne sachant que dire, il déclara le célèbre
« que d'eau… que d'eau !… »9
Le préfet du département lui répondit alors :
« Et encore, Monsieur le Président, vous n'en voyez que le dessus… ! »10
Une forme assez emblématique de la vacuité des badernes bourgeoises "républicaines" et "démocrates" - selon "l'exception culturelle française" - dont nous nous sommes pourvus électivement depuis un demi siècle, et qui peuple aujourd'hui l'appareil d’État...jusqu'au sommet. Dans les phases "critiques", telles celle que nous connaissons actuellement, cette forme spectaculairement aggravée devient assez logiquement "dominante" .... à la fois en "distanciel" et en "présentiel" selon les derniers néologismes suscités par la grande pandémie de connerie qui tous les a atteints. Mais dont hélas tous ne meurent pas, du moins symboliquement.
Face à l'épidémie, ne sachant "que faire" (pour s'être privés des moyens concrets de faire quoique ce soit), ça nous donne ... le couvre-feu (et le reste), du simple fait qu'aucune des mesures réellement effectives pour lutter contre la maladie - donc soigner les gens, n'a été prise : aucun investissement, aucune création de postes, de services d'équipements de santé, etc. en dépit du fait que "la première vague" était supposée leur avoir servi de leçon... pour la suivante qu'ils annonçaient pourtant avec les airs lugubres de circonstance.
Macron, une fois encore avait "changé"...
Six mois après on eut donc droit à cette proclamation éminente des mêmes ( notamment Jojo Castex, il y a quelques semaines : "la deuxième vague sera forte" - sic !)? Il en est donc ainsi des commentaires de Castex comme du reste de la plupart de ses collègues de la couche sociale cooptée comme dirigeante - y compris leurs "experts qui causent dans le poste" ou sur les rhizomes sociaux (principaux "clusters", avec les cabinets ministériels et l'Hôtel de ville de Paris, de la grande pandémie de connerie actuelle).
Dans les périodes de relative accalmie, comme celle que nous avons connu par exemple pendant la primature de Raffa-rien ( encore une "homme des territoires") , celui-ci puisait pourtant assez volontiers au même tonneau "traditionnel".
Souviens toi de :
"la pente est rude mais la route est droite", etc.
Mais sur un mode "mineur", qui, à l'époque, allait bien... puis quelques temps après ( il n'y a pas si longtemps) ça nous a donné "les larmes de raffarien" : en pièce jointe mon petit montage "d'époque" que j'ai à peine eu besoin d'actualiser ...
La médiocrité propre à la classe "moyenne" engendre assez spontanément (j'allais dire "naturellement"), parmi ses élites une médiocrité nécessairement (un peu) supérieure à la moyenne, requise pour justifier son statut électif.
D'où les innombrables Diafoirus que tu connais mieux que moi pour se multiplier dans les médias de plus en plus complaisants, dans une intense émulation, tant la "demande" de duperie volontaire est pressante de la part du consommateur - le "droit" de consommer est sacré et le "pouvoir d'achat" celui qui s'impose donc par dessus tout, du moment que c'est "soutenable" par les actionnaires et donc "durable" ... pour la planète.
Nous n'obtenons collectivement que ce que nous méritons ... collectivement.