Jeudi dernier, nous avons reçu François Asselineau pour un débat avec les marxistes et les communistes (voir : les videos de la soirée ) dans un contexte de polémiques politiques nous opposant à des détracteurs qu'on a connu mieux inspirés et que nous pensons avoir disqualifiés au fil de ces débats . Il n'est pourtant pas inutile, eu égard au caractère infamant (et parfaitement grotesque) des élucubrations de ces détracteurs, de confronter ce débat public aux "faits têtus" tels qu'ils attestent des positions et des actions des communistes et des marxistes authentiques et sincères, sincèrement et authentiquement engagés dans les luttes sociales et politiques, aux cotés des travailleurs et de toutes celles et tout ceux qu'ils jugent capables de porter solidairement et efficacement les aspirations des classes laborieuses.
Tel est le cas de nos vieux amis communistes, actifs, constants et déterminés : Edmond Janssen et Antoine Lubrina qui au lendemain de cette rencontre à la librairie sont allés exprimer cette solidarité aux 20 000 adhérents d'un parti qui porte manifestement ces aspirations populaires, bien mieux que les hologrammes de music-hall :
Pour ceux qui auraient raté l'épisode précédent, ils peuvent juger par eux-mêmes, de la "clarté et distinction" du débat politique avec F.Asselineau, ici :
et, à partir de là, apprécier le bien fondé des conclusions de Jean-Pierre Garnier dans son article liminaire :
"En attendant, les mesures gouvernementales énoncées par F. Asselineau au cas où, par miracle, il disposerait d’une majorité, pour les faire voter, devraient faire réfléchir les petits malins qui en ont visiblement perdu l’habitude. Restauration des services publics dans leur plénitude, renationalisation des réseaux indispensables à la vie quotidienne et interdiction de nouvelles privatisations, rampantes ou non, des services publics, renforcement droit du travail au profit des travailleurs et annulation des réformes qui l’ont affaibli, rétablissement du contrôle des mouvements de capitaux, éviction des féodalités financières qui orientent la politique économique, et, sur le plan international, fin de la Françafrique et politique étrangère de non alignement. On a quand même vu des programmes plus à droite !"
Nous ajouterons donc, à propos de François Asselineau et de son programme :
« On a déjà vu plus brun (et beaucoup moins rouge) »