Vanessa Beeley
21st Century Wire
“Un document d’accès valide est nécessaire pour l’entrée aux États-Unis", a déclaré une porte-parole du ministère de la Sécurité intérieure à Associated Press lorsqu'on lui a demandé un commentaire sur cette affaire. Selon la correspondance interne de l'administration Trump telle qu’interprétée par Associated Press, le ministère de la Sécurité intérieure a décidé de bloquer Khateeb.” ~ Fox News
“Un réalisateur de cinéma syrien nominé pour un Oscar dimanche soir a été interdit d'entrée aux États-Unis sur la foi d’" informations dérogatoires "- un terme vague qui peut signifier aussi bien une simple irrégularité de passeport que des accointances terroristes..
Khaled Khateeb, 21 ans, qui a travaillé sur le documentaire Netflix "Casques blancs", devait arriver en Californie samedi. On lui a initialement délivré un visa pour assister à la cérémonie de remise des prix, cependant la correspondance interne de l'Associated Press aux États-Unis a révélé que les autorités turques l'avaient interrogé cette semaine.
Les connexions terroristes de Raed Saleh et de la direction des casques blancs en Syrie
C'est cette étonnante révélation qui nous a tirés du lit ce matin ...
Il semble bien que l’US Homeland Security a une fois de plus, refusé l'entrée, aux agents des casques blancs. Car ça n'est pas une initiative propre à l'administration Trump... (contrairement à ce qui est suggéré par la presse). La dernière fois que cela s'est produit c’était en avril 2016 quand le leader des Casques blancs, Raed Saleh, s’était déjà vu refuser l'entrée aux États-Unis où il était invité pour recevoir une récompense d'InterAction, pour ses contributions à « l'aide humanitaire ». Mark Toner, du Département d'Etat des États-Unis (du temps de l’administration Obama), s’était alors efforcé d’éluder les questions embarassantes de Matt Lee, de l'AP, pour pathétiquement échouer , admettant finalement que c'étaient les possibles «connexions extrémistes» de Saleh qui avaient entraîné son interdiction aux États-Unis.
AP a également relaté l’interdiction d’entrée de Khateeb aux États-Unis:
"Khateeb devait arriver samedi à Los Angeles sur un vol de Turkish Airlines au départ d'Istanbul. Mais ses plans ont été bouleversés après que les fonctionnaires des Etats-Unis aient rapporté avoir trouvé des "informations dérogatoires" concernant Khateeb.
L'information dérogatoire est une catégorie vague qui peut inclure n'importe quoi des accointances terroristes aux irrégularités de passeport. Une porte-parole du ministère de la Sécurité intérieure, Gillian Christensen, a demandé un commentaire: «Un document de voyage valide est nécessaire pour voyager aux États-Unis. »
Raed Saleh a touité hier, qu'il était fondamentalement "trop occupé" pour aller à Hollywood se joindre aux stars fortunées de l'écran , pour y promouvoir son organisation affiliée à Al-Qaïda, déjà financée par plusieurs millions de dollars des multimilliardaires va-t-en guerre de l'OTAN et de l'alliance du Golfe.
La tentative de donner un Oscar aux partisans du terrorisme pour leur film de propagande, en approuvant une zone de non-survol sur le sol syrien, de fait une déclaration de guerre entre la Russie et les États-Unis , viendrait-elle d'échouer?
L'administration de Trump a-t-elle sifflé la fin de la sinistre farce récréative qu'était la promotion de cette prétendue organisation non-gouvernementale humanitaire, financée en réalité par les gouvernements favorables aux intérêts d'Israël au cœur même de la Syrie?
Il faut se souvenir que sous l'administration d'Obama, la décision de la sécurité intérieure avait été récusée lorsque le secrétaire d'État, John Kerry, autorisa l'entrée de Raed Saleh aux Etats-Unis en septembre 2016 (en dépit des relations extrémistes reconnues de Saleh) et à l'ONU à New York pour des conversions en huis-clos , pour comprendre pourquoi les Etats-Unis n'ont pas réussi à imposer leur zone de non-survol en Syrie.
Il semble que Khateeb a également été briefé pour présenter ce genre d'excuse : "Je suis trop occupé à aider les gens"...
La vidéo suivante est une compilation des témoignages de civils syriens libérés d'une incarcération de cinq ans à Aleppo-Est, sous un régime terroriste et une occupation dirigée par les factions d'Al-Qaïda, le Front Nusra et diverses brigades militantes extrémistes, également financées par les Etats-Unis, États du Golfe. Ces témoignages témoignent de la construction américaine et britannique, les Casques Blancs, n'étant rien de plus que "la défense civile de Nusra Front".
Le Croissant-Rouge arabe syrien a également déclaré à Vanessa Beeley, rédactrice de 21WIRE, qu'ils n'avaient jamais vu les Casques blancs effectuer d'opérations humanitaires à Alep-Est, pendant ou après l'occupation par les groupes "rebelles modérés".
Le SARC (Croissant Rouge Syrien) a confirmé l'assertion des civils syriens selon laquelle les casques blancs financés par l'OTAN et les États du Golfe n'ont jamais mené aucun sauvetage civil ni n'offraient de traitement paramédical à Alep-Est.
Assistons-nous enfin à la validation des deux années d'enquête indépendante menées sur ce groupe terroriste camouflé en "ONG", dont les initiateurs ont enfumé le grand public avec un florilège de campagnes marketing spectaculaires et coûteuses, conçues pour faire appel à notre compassion et émouvoir le grand Public au bénéfice du "crowdfunding" du terrorisme à l'intérieur de la Syrie?
On peut voir aussi dans cette candidature aux Oscar des Casques Blancs un indice du niveau auquel l'élite dirigeante s'est abaissée pour maintenir une façade présentable, pourtant bien érodée par les succès des quelques courageuses visiteuses qui ont pris position contre ces manipulations mondialisées, telles Tulsi Gabbard et Carla Ortiz, toutes deux ont choisi de risquer leur carrière pour pouvoir présenter aux américains la réalité de ce qui se passe véritablement en Syrie.
La bravoure, le courage et la résistance du peuple syrien, dont la majorité soutient pleinement l'État syrien et l'armée arabe syrienne, ont ils finalement démoli le mur de mensonges qui empêchait que leurs voix soient entendues?
L'histoire montrera en tout cas que Hollywood a évité de peu d'inviter Al-Qaïda et ses terroristes affiliés sur son tapis rouge de cérémonie... la force de la vérité s'est une nouvelle fois montrée décisive comme lorsqu'elle évitât que le Prix Nobel de la Paix ne fut attribué à cette même organisation de criminels, partisans, les Casques Blancs ... fantômes d'Alep-Est.
Le film de propagande des "White Helmets" peut encore être oscarisé. Certes ce ne sera qu'un prix de consolation dérisoire pour des récipiendaires privés des honneurs. Mais il peut encore servir de levier supplémentaire pour stigmatiser l'administration Trump, qui a osé "interdire" ces "nobles humanitaires".
Si le documentaire de Netflix remporte l'Oscar, il sera fascinant de voir le réalisateur, Orlando von Einsiedel et le producteur, Joanna Natasegara expliquer que ces «sauveurs de l'humanité» sont simplement «trop occupés» pour assister à la remise du prix, en dépit des déclarations euphoriques de Khateeb sur sa prochaine visite, partout sur ses comptes de médias sociaux.
Vanessa Beeley
Alors... après cette privation d'oscars .. qu'est-ce qui peut bien encore arriver à la Syrie ?
Syrie, un état (provisoire) des lieux.
Par Badia Benjelloun
Les représentants des casques Blancs n’ont pu se rendre aux Usa pour la cérémonie des Oscars. Ils figuraient dans un documentaire tourné en Syrie The White Helmets. L’enquête de Vanessa Beeley (0)démontre la réalité de leur activité, un simulacre grossier de secourisme déployé pour des caméras sur téléphones portables. La non admission de ces trancheurs de têtes d’enfants enrôlés par les Séoud sur le territoire étasunien peut être attribuée à l’application rigoureuse du bannissement édicté par le Décret Trump. Mais elle peut aussi être comprise comme une volonté de rupture avec ce type de politique d’ingérence des Usa au Moyen Orient. Ce qui signifierait désengagement dans une perspective isolationniste et donc un abandon relatif des provinces vassales qui devront régler leurs problèmes entre elles. Dans l’hypothèse première, imaginons une séquence improbable, un sentiment de décence aurait pu animer les responsables de ce refus. Les Musulmans se font tuer par millions depuis quelque temps, couronner cette boucherie par un prix burlesque décerné à une comédie sanglante tiendrait d’un satanisme baroque.
La France a eu moins de scrupules à recevoir au palais de l’Elysée puis au palais Bourbon en novembre 2016 ces médiocre comédiens d’Al Nosra , au prétexte que la France « partage avec eux la conception des droits de l’Ôme » dixit Manuel Valls. Elle s’est alors couverte de ridicule et d’opprobre.
Peut-être aussi
Voici esquissé en quelques traits le contexte actuel du positionnement des forces en présence.
Nettoyage des taqfiristes
chassés d’Alep et du Nord
Le général Joseph Votel vient de se rendre en Syrie pour une visite secrète aux Forces Démocratiques Syriennes (FDS), la milice à majorité kurde que le Pentagone assiste depuis son commandement CentCom. (1) Les FDS fortes de 50 000 combattants tiennent Manbij et sa région au Nord d’Alep, elles disposent d’armements lourds américains, et depuis janvier 2017 de blindés. Elles sont assistés de militaires étasuniens. Votel est venu se rendre compte de l’étau dans lequel les forces d’Erdogan risquent d’écraser leur instrument favori avouable. Il promet plus de présence de soldats US à leurs côtés. Les FDS sont l’expression du mouvement autonomiste kurde syrien et c’est au titre du projet néoconservateur de morcellement de la Syrie qu’elles sont les auxiliaires du Pentagone. Elles sont encensées par la presse occidentale qui admire et photographie ses femmes soldats en treillis et à la chevelure libre de tout couvre-chef, casque ou fichu. Si la Syrie se fragmentait, elle le serait depuis cette zone-là.
L’armée syrienne a repris cette fin de février la ville d’ Al Bab (2) de 100 000 habitants, à 30 Km de la frontière turque. Elle n’est éloignée de Manbij,l a forteresse des FDS à son est, que de 50 km. Elle est stratégiquement vitale pour les habitants d’Alep car elle abrite à son flanc le lac qui alimente en eau la capitale du nord de la Syrie. Après avoir été dominée par la nébuleuse takfiriste, le machin désigné par l’EI, elle était contrôlée depuis la vaste opération d’Erdogan ‘Bouclier de l’Euphrate’ par des milices rebelles au service de la Turquie.
Actuellement donc toute cette frange au Nord d’Alep est nettoyée à la fois des forces terrestres turques et des takfiristes sur plus de 2500 KM2 le long de la frontière turque.
Double mouvement sur Raqqa des Taqfiristes
des environs d’Alep et de Mossoul
Depuis la Syrie, ceux-ci n’ont eu d’autre recours que de refluer vers le Sud-Est sur Raqqa, devenue capitale de facto de la nébuleuse takfiriste.
Dans le même temps, en Irak, l’encerclement progressif depuis de nombreuses semaines de Mossoul avec la prise de nombreux gros villages avoisinants et celle de l’aéroport de la ville contraint les terroristes à fuir vers la Syrie, aidés en cela par l’armée US et le renseignement israélien (3). Les volontaires des Unités de Mobilisation Populaire de l’Irak, Hashd al Shaabi, qui viennent de libérer Tal Afar à l’ouest de Mossoul sont formels, ils ont observé l’aviation américaine relarguer des vivres et des équipements à la nébuleuse takfiriste et certains de ses dirigeants ont été exfiltrés sous leurs yeux.
La preuve indirecte que les Usa continuent leur aide aux terroristes est matérialisée par la baisse de la pression opérée par les FDS c’est-à-dire les USA sur la Rakka. L’Etat-major Us n’envisage pas la reprise de l’offensive contre Raqqa avant le printemps 2017 ou la fin de l’année soit aux calendes grecques.
Par ailleurs, l’Irak a frappé des cibles takfiristes en territoire syrien, sans doute dans le cadre du protocole d’échanges d’information entre la Syrie, l’Irak et la Russie. (4) Clairement, le relâchement sur ce front a permis aux takfitistes d’aller attaquer Tadmour ou Palmyre (5) en décembre 2016 puis maintenant d’accroître leur activité dans la banlieue de Damas. Une coalition de plusieurs milices a fait paraître sur la toile un document (6) qui fait office de traité attestant de la coordination de leurs efforts en particulier à Barze et Qaboune, aux portes de la Ghouta orientale. En font partie la milice Jaysh Al Islam de l’Arabie Séoudite et Ahrar al Sham qui a comme champion la Turquie d’Erdogan. Ces banlieues aux portes de la capitale sont ravitaillées par un réseau de tunnels très complexes et très denses et leurs occupants terroristes tiennent bon malgré le blocus terrestre. Damas est vulnérable aux coupures d’eau que lui infligent ces milices (7), il est impérieux pour l’armée nationale de délivrer les millions de Damascènes de cette menace constante. Les medias occidentaux, prompts à condamner Bashar el Assad pour ses crimes atroces et toujours parfaitement partiaux, ne rendent compte bien sûr que d’une partie de la situation militaire et humanitaire du terrain.
Au total, Alep, Al Bab, Manbij et Mossoul forment la base d’un éventail avec comme extrémité de l’entonnoir Raqqa vers lequel convergent les 60 milices de diverses obédiences turque, séoudienne, qatarie, française, étasunienne qui s’entretuent parfois très efficacement mais souvent unies pour abattre le régime syrien.
La pointe du cône n’est pas étanche, elle laisse passer ce qu’il faut pour perpétrer des opérations kamikazes à Homs, Damas, couper l’eau à Damas et reprendre pied à Palmyre.
La valse diplomatique
Selon les dires du responsable des opérations militaires au Moyen orient de l’Otan, des groupes nombreux, aux intérêts divergents, sont présents sur un territoire resserré de quelques centaines de km2. Les avions des uns et des autres risquent de se heurter avec risque de conflits potentiels. D’où l’appel à la prudence en ce domaine lancé par les Usa en direction des Russes.
Ce chassé-croisé des armes et des porte-flingues pour le compte de puissances étrangères sert de toile de fonds pour l’activité diplomatique actuelle et l’éclaire.
La Turquie réalise des accords avec le Kurdistan irakien, dans la suite de leur collaboration dans l’acheminement et la transformation du pétrole volé par la nébuleuse takfiriste. Ils ont été de nouveau scellés lors de la rencontre de Ben Ali Yildirim, Premier Ministre turc, et son homologue Barzani en novembre 2016 à Ankara( 8). Pour les alliés du jour, il faut assimiler PKK, parti des travailleurs kurdes et PYD, parti kurde syrien et veiller à les éliminer.
L’époque où les Usa favorisaient la présence d’avions des Séoud sur la base d’Incirlik dans le cadre de la ‘coalition contre l’EI’ (9) c’est-à-dire février 2016, semble très lointaine. Depuis la tentative du coup d’Etat de juillet 2016, la Turquie se réserve le droit de fermer la base de l’OTAN près d’Adana (10) et fait peser dans la balance l’aide des Usa au PYD.
Les Séoud retournent pour la première fois en Irak. Leur Ministre des Affaires Etrangères s’est déplacé à Bagdad, alors que l’ambassadeur des Séoud, persona non grata pour propos désobligeants et provocateurs, avait été expulsé en 2016. Le gouvernement irakien demande aux Séoud de rompre leur silence approbatif sur la présence au nord de l’Iraq de milliers de soldats turcs. Les princes-robinets du pétrole voudraient-ils sortir de leur isolement dans la région ? Ne font-ils que s’incliner devant les succès de l’armée irakienne qui est en train de regagner rapidement Mossoul contre la prédiction pessimiste de l’administration d’Obama qui la reculait à un lointain avenir de plusieurs années ?
La guerre impitoyable qu’ils mènent au peuple arabe le plus pauvre avec menace de morts par famine pour des millions d’enfants, bien plus meurtrier que le blocus étasunien sur l’Irak, perdure sans résultat appréciable pour l’agresseur. La rencontre de Adel Joubeir (11)avec ses homologues irakiens semble témoigner d’un revirement de la doctrine des roi-robinets. Après avoir prêché une union sacrée confessionnelle, réduite à une vision étriquée et ultra-sectaire, ils semblent vouloir devenir les champions d’une union linguistique. Ils comptent embarquer quelques dirigeants de la région dans un Front arabe après qu’ils eussent été les apôtres d’un sunnisme de leur invention à leur usage politique.
Avec toujours en ligne de mire, l’Iran comme réelle puissance régionale sans laquelle ni le problème syrien ni l’irakien ne peut être résolu. Mais l’éditorialiste de Raï Al Youm déchiffre dans cette démarche une nouvelle approche plus réaliste des Séoud qui entendent approcher l’Iran incontournable par l’intermédiaire d’une de leurs premières victimes, l’Irak. (12) Cette attitude empreinte d’un réalisme presque soudain tient compte du niveau de remplissage des caisses du Trésor Public de moins en moins pleines des dividendes de la manne du robinet. Le Royaume se sépare des travailleurs étrangers qu’il accueillait et pratique la politique de la préférence nationale même pour les métiers les moins nobles et les moins prisés. Il ne s’était jamais vraiment remis du financement de la première guerre contre l’Irak (du Golfe) de 1991, mais le prix du brut des derniers mois et l’engagement absurde au Yémen sont en train d’avoir raison de sa prétention et de son arrogance.
Intégrité territoriale.
Les formats de résolution de conflit menée par la Russie peuvent exclure dorénavant les protagonistes extérieurs à la région, Usa et France.
Quand la Russie intervient en Syrie à la demande du gouvernement en place, elle défend d’abord ses frontières et ses intérêts stratégiques. Elle a posé comme principes gouvernant sa politique internationale le respect de la règle de non ingérence et de l’intégrité territoriale. Elle a récemment convoqué le PYD à Moscou pour l’entretenir des résultats des pourparlers d’Astana dont il était exclu en raison de ses ambitions séparatistes.
Il fait peu de doutes que cette rencontre a suscité le courroux outragé de la partie syrienne au pouvoir.
En janvier 2017, l’armée d’occupation sioniste a réalisé une frappe sur l’aéroport militaire Mezzeh près de Damas. De nouveau, début février, un hélicoptère sioniste a frappé des positions tenues par le gouvernement syrien à Quneitra près de la frontière libanaise. Ces incursions posent la question du degré de l’inviolabilité du ciel syrien. Elle sont en train de tester la solidité de l’alliance russo-syrienne et/ou l’efficacité des missiles sol-air délivrés par la Russie à l’armée régulière syrienne.
Elles rappellent que l’occupant sioniste est un acteur dans le conflit syrien, même si les medias occultent avec obligeance ses aides logistiques à al Qaida sous ses diverses appellations ainsi que sa précieuse assistance médicale et la possibilité de repli sur son territoire pour les takfiristes.
Dans le cadre d’une éventuelle détente avec les Usa, la Russie saura-t-elle tenir son engagement de maintenir l’intégrité territoriale de la Syrie ?
Badia Benjelloun
(1) http://french.almanar.com.lb/270015
(2) http://www.presstv.ir/Detail/2017/02/26/512155/Syria-Aleppo-Daesh-Bab
(4) http://specialdefense.over-blog.com/tag/syrie/
(6) http://french.almanar.com.lb/270345
(8) http://www.rfi.fr/europe/20170106-syrie-menace-fermeture-base-incirlik-coalition-tensions-etats-unis
(9) http://fr.timesofisrael.com/syrie-larabie-a-deploye-des-avions-de-combat-en-turquie/
( 10)http://www.rfi.fr/europe/20170106-syrie-menace-fermeture-base-incirlik-coalition-tensions-etats-unis
(11) http://www.presstv.ir/Detail/2017/02/26/512129/Iraq-Saudi-Turkey-Jubeir
(12) http://www.raialyoum.com/?p=626942