À la veille des vacances d'été le gouvernement de la République se met en quatre pour fournir aux français, accablés de précarité, de chômage et autres incitations à la morosité, des vacances accessibles à leurs moyens désormais limités. C'est ainsi que le premier ministre lui-même donne l'exemple et lance la première compagnie aérienne "no-cost"en payant de sa personne pour une campagne de promotion très soutenue.
Le slogan initiliament choisi "VALLS-AIR, si c'était à refaire ?" ne sera peut-être pas finalement retenu, mais il demeure que l'opinion et la presse unanimes ont été fort sensibles à cette initiative citoyenne bien dans la manière farouche et volontaire à laquelle le premier ministre a accoutumé les français.
D'autant que ces beaux efforts viennent après ceux que le ministre Macron a déployé, avec la créativité qu'on lui connaît, pour promouvoir les longues étapes en autocar, inconfortables et épuisantes mais si prometteuses de solidarité et de chaleur humaine...